L'art urbain...contesté ou contestable, il est devenu cette dernière décennie très apprécié. Même si, pour en arriver jusqu'ici, il a fallu combattre les préjugés.
Comment un dessin taggé sur un mur, à côté de trois poubelles, peut être de l'art? Cela apparaissait, en effet, comme du vendalisme de la part de quelques jeunes desaxés. Mais c'était sans compter certains affichistes, (qui, selon moi, ont posé une grosse brique sur l'édifice de l'art des rues.) du succès de l'art contemporain (l'on dit d'ailleurs de l'art urbain qu'il est une branche de l'art contemporain.) qui se sert parfois de l'extérieur pour exprimer ses oeuvres et puis, s'en est suivi l'implication de grands artistes qui ont révolutionnés l'art urbain, au point même que, ces hommes et ces femmes, qui se proclamaient artistes de la rue et pour la rue, enfermèrent leur créations entre quatre murs de quelques musées...pour notre plus grand bonheur. (je suis bien obligée de l'admettre.)
Mais où s'arrête l'art urbain et où commence le vandalisme? Est-ce qu'un TGV tagué de long en large, fresque défilant à plus de 100km/h, est considéré comme de l'art ? Et si oui, peut-on nier que ceci est totalement contraire à la loi?
Il ne faut pas oublier que dans le passé, le terme 'D'ART' urbain était très mal vu..
Peut être qu'un jour la SNCF enverra ses trains usagers dans un musée?
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